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Détails pratiques pour bien se confesser

En premier lieu, présentez-vous sommairement au prêtre: situation familiale, état de vie. Si votre dernière confession remonte à loin, dites-le lui aussi.

Avant de commencer votre confession, vous pouvez faire un signe de croix. Lorsque votre entretien sera terminé, vous pouvez réciter cette prière (mais cela n’a rien d’obligatoire):

« Père, Dieu de tendresse et de miséricorde, j’ai péché contre Toi et mes frères. Je ne suis pas digne d’être appelé ton enfant, mais près de Toi se trouve le pardon. Accueille mon repentir. Que ton Esprit me donne la force de vivre selon ton amour en imitant Celui qui est mort pour nos péchés, Ton Fils Jésus-Christ Notre Seigneur ».

Le prêtre lève la main et prononce la parole sacramentelle de pardon:

Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde. Par la mort et la résurrection de son Fils, il a réconcilié le monde avec lui et il a envoyé l’Esprit Saint pour la rémission des péchés. Par le ministère de l’Église, qu’il vous donne le pardon et la paix. Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, je vous pardonne vos péchés ».

Vous répondez « Amen » et faites le signe de croix. Le prêtre donne ensuite une pénitence, en général un texte biblique à méditer chez vous.

Extrait des fiches « Croire » disponibles en paroisse.



Sacrement de pénitence – Sr Faustine Kowalska

Écouter ce texte en mp3

Sr Faustine: Le Seigneur m’a dit: …

      Écris, parle de ma miséricorde. Dis aux âmes où elles doivent chercher la consolation, c’est au tribunal de la miséricorde (note: c’est à dire dans le sacrement de pénitence); c’est là qu’ont lieu les plus grands miracles qui se renouvellent sans cesse. Point n’est besoin, pour obtenir ce miracle de faire de lointains pèlerinages, ni de faire étalage d’un quelconque cérémonial, mais il suffit de se jeter avec foi aux pieds de celui qui tient ma place, de lui dire sa misère et le miracle de la miséricorde divine se manifestera dans toute sa plénitude. Même si cette âme était en décomposition comme un cadavre, et même si humainement parlant il n’y avait plus aucun espoir de retour à la vie, et que tout semblait perdu – il n’en est pas ainsi selon Dieu, le miracle de la miséricorde divine redonnera vie à cette âme dans toute sa plénitude. Ô malheureux, qui ne profitez pas maintenant de ce miracle de la miséricorde divine; en vain vous appellerez, il sera déjà trop tard.

Extrait du « Petit Journal de Sr Faustine Kowalska » N° 1448